Fiche numérique
Tous les grands films d’épouvante le rappellent : la peur appartient avant tout au domaine de l’enfance. Ce n’est donc pas un hasard si, par les moyens d’une berceuse (« dream, my little one, dream… »), l’ouverture de La nuit du chasseur invite son spectateur à replonger dans ses terreurs d’enfant.
Thématique(s)
- Questions de cinéma